Catégories : Homme soumis, Femdom Domination féminine Enema Lavement / Médical
Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 95 : Confidence 3/3
il y a 1 an
Chapitre 96 : Premier lavement
Du monde venait par cet escalier. Beaucoup de monde. Lydia me cachait la vue de l’entrée de la pièce et je ne distinguais les nouveaux venus que dès lors qu’ils quittaient l’angle mort que son corps de déesse générait.
Ladyscar fut la première.
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Alors, prêt à être plus loquace sur ta journée d’hier.
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Non, répondis-je avec la même assurance, que peu avant, avec Lydia.
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Non, qui ? entendis-je derrière elle Lisa.
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Il est bien rebelle, dit Tata Marguerite qui était arrivée à la demeure entre temps.
Si Ladyscar portait une tenue de maitresse d’école avec un chignon, des lunettes, une jupe droite trop petite pour cacher des bas de soie se terminant sur des souliers noirs vernis, Tata Marguerite avait préféré un body moulant en latex violet surmonté d’un masque de chat avec deux petites oreilles à la Catwoman. Une cravache assortie complétait sa tenue. Elle me frappa les couilles bien découvertes en répétant la question de Lisa.
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Non, qui ?
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Non, maîtresses, réagis-je avant de recevoir un second coup.
Lady Christine apparut derrière dans une tenue aux formes de celle de Valérie qui dévoilait toute son intimité. La matière était différente car elle avait choisi du satin. Sa peau était flétrie et peinait à rester d’une seule couleur, ses seins petits et tombants, mais je ne pouvais éviter de la trouver quand même excitante.
- Lassie veut garder ses petits secrets pour elle.
Je ne voulais pas qu’elles parlent d’elle. Je croyais m’en être débarrassé après la conclusion éjaculatoire dans la bouche de Tommy à la soirée d’hier, mais, il y avait quelques dizaines de minutes, elle avait jeté son dévolu sur Wallace sans que je ne puisse rien y faire. Je sais qu’elle était là, prête à reprendre la régence. Le récit de Lydia l’avait repoussée à nouveau et, tant que mon humiliation serait endurable, tant que j’éviterai les rapports avec des hommes, je garderai le contrôle.
Maîtresse Diane apparut la dernière des quatre. Habillé comme Ladyscar, elle n’avait qu’une chemise blanche presque transparente et une jupe si courte qu’on voyait, quand elle se déplaçait, qu’elle ne portait pas de culotte. De plus, la chemise, plus qu’entrouverte, dévoilait son opulente poitrine qui forçait sur le premier des boutons fermés, qu’une respiration forcée aurait emporté. Le quatuor était là, accompagné de Lydia et Lisa cachée derrière elles. Mais les six femmes n’étaient pas seules. Plusieurs valets, portant des récipients que je ne pouvais distinguer, les suivaient.
Curieux, je tournai la tête pour voir derrière mes maîtresses. Qu’est-ce qu’ils pouvaient transporter qui ne se trouvaient pas dans la salle aux milles instruments de torture. De quoi remplir le bocal ?
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Aujourd’hui, expliqua Maîtresse Diane, nous allons te nettoyer le cul. Je pense qu’il doit être, comment dirais-je, fit-elle semblant d’hésiter, foutrement bien rempli.
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J’ai pris un bain hier, ce matin Maîtresse, me repris-je, sans réagir au bon mot de mon hôtesse.
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Ce n’est pas pareil. Ton nettoyage est resté très superficiel. Je te parle de te rincer l’intérieur, ajouta-t-elle en me montrant les récipients.
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Que contiennent-ils ?
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Un peu de tout, me répondit Lady Christine, un peu de tout.
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On va commencer par de l’eau savonneuse, répondit plus précisément Ladyscar en me voyant me tortiller pour voir à l’intérieur. Si nous voulons en essayer plusieurs et sortir déjeuner dehors après, il ne faut plus tarder dit-elle.
Ahmed versa le contenu de l’un des récipients dans le bocal. Le liquide fumait. Il n’était pas à température ambiante. Lady Christine activa un premier robinet au niveau du bas de tuyaux qui chassa l’air afin que le tuyau se remplisse jusqu’en bas du liquide. Là où le tuyau touchait ma jambe, j’en sentis la chaleur appréciable.
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C’est chaud, dis-je en essayant de rester factuel, évitant critique et plainte.
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C’est normal. L’eau savonneuse a un meilleur pouvoir nettoyant quand elle est chauffée. Tu vas devenir ingénieur. Tu devrais le savoir, me répondit Maitresse Diane. Que leur apprenez-vous à l’école ? demanda-t-elle à Ladyscar, sans attendre d’elle de réponse.
Lady Christine tourna un autre composant qui gérait le passage vers la partie finale du dispositif. L’eau s’écoula et je la sentis remplir mon orifice puis, par la pression, remonter dans mon bas-ventre.
L’eau n’était pas très chaude, mais la sensation extrêmement bizarre. Un peu comme si une diarrhée s’était soudain déclenchée mais dont le mouvement était à contre sens. Je resserrais les fesses. Un des valets derrière moi ajusta un seau sous mes fesses, probablement dans le cas où une fuite autour du tuyau se manifesterait et que du liquide s’écoulerait. Pour l’instant, non seulement cela ne se vidait pas, mais le liquide continuait à me remplir.
Je regardais dans la direction du bocal mais Tata Marguerite me couvrait la vue sur le niveau restant de ce supplice. Elle pimenta même le jeu en me massant le bas-ventre, accroissant mon malaise.
- Je vais tout rendre, dis-je.
A peine avais-je dit cela que je sentis comme un équilibre de pression entre mon ventre et la gravité du liquide restant dans le bocal.
- Serre les fesses, me commanda Maîtresse Diane. On n’en a pas fini. Il n’y a qu’un demi-litre.
Un demi-litre. Ce volume ne me parlait pas. Combien avaient-elles prévu en rajouter ?
Je sentais maintenant le liquide affluait à nouveau en moi par vague, mécaniquement, inlassablement.
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Je ne vais pas tenir, redis-je après une dizaine de minutes où je sentais mon ventre se gonfler.
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C’est l’effet que cela donne, mais tu essaieras, me dit Ladyscar. On va t’aider.
Lady Christine, aux opérations avec Lydia me sortit le tuyau tandis que l’infirmière m’enfonçait dans le l’ouverture libérée un plug de grande taille, du moins dans sa largeur. C’est vrai que cela facilitait ma tâche. Je n’osai me relâcher complétement mais je n’étais plus totalement concentré sur le maintien fermé de cet accès. J’avais le ventre plus flatulent qu’après un repas de réveillon et une forte envie de chier, de pousser par la force de mes fessiers ce plug hors de moi et de me vider dans ce seau.
-
Et maintenant ?
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Maintenant, on va attendre un peu, me dit Ladyscar. Surtout que tu nous as offert une séance gratuite avec ton idée d’hier.
De quoi parlait-elle ? Alors que mes maîtresses et Lydia s’écartaient de moi pour prendre positions sur des sièges que les valets avaient apportées pendant mon remplissage, je vis Lisa, entièrement nue, exhibée devant moi. Je revis son corps associé aux images de la veille et je bandais malgré l’inconfort de ma position.
Derrière elle les cinq valets, dont elle avait donné les noms hier, avaient également ôté leurs vêtements et formaient un arc de cercle autour d’elle. Lassie passa à mon goût trop de temps à les reluquer.
- Tu veux donner le départ de la séance me demanda Maîtresse Diane.
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